États d’âme
Un jour, comment oser penser que tout sera paisible gonflé de sérénité,
il y eu tant de chimère, ce combat est solitaire,
cette bataille qui semble interminable toutes ces nuits de cauchemars,
lutter toujours lutter même le souffle court jamais s'arrêter
ou bien l'abîme ouvrira ces portes.
Chaque jour, chaque semaine, mois, année, jamais rompre cette vigilance,
comment se protéger, aucune aurore ne se ressemble.
On peu fuir mais inopportunément la tempête guette le premier signe de faiblesse,
se lève et vous détruit à petit feu se languissant de récidiver,
comment se redresser alors que vous êtes déjà à terre,
jamais de répits, il faut combattre cette haine humaine.
le soleil se couche
il est si majestueux ce rituel muet en cette fin d'été,
bientôt l'automne,
les arbres silencieux soupirent une dernière fois avant de s'endormir sereins, nous laissant la joie de leurs couleurs vivent reflétant un été ensoleillant, dorant leurs écorces rudes d'avoir souffert jadis,
reflet d'un bonheur qui à coûté.
d'autre n'ont eu cette force de lutté
Le ciel se déchire,
la nature se détache quelle est cette souffrance,
effrayante austère.
Qui veut-elle corriger,
j'aimerai tant qu'elles m'emportent !
Pourquoi souffrir,
pourquoi vivre,
quel est ce monde ou tous s'enivre du malin
vous écrase par plaisir,
pourquoi les sentiments vous amplifie de fougue
ou bien vous réduise à néant,
qui ne fait pas d'erreurs
ceux qui ne pardonnent pas,
pourtant être vivant survivant, est ce là mon malheur.
Et dans la mort y a t il autant de plaisir à écouter un coeur détruit par la souffrance,
vide d'amour bien avant de s'endormir,
vide d'avoir cru en l'avenir en la conscience des hommes,
vide de ne pas avoir vu ces larmes surgir anéantissant vos rêves,
utilisant vos émotions contre vous même,
vous rappelant les chaînes apposer malicieusement
et votre coeur affecté,
s'exilé par ce qu'il n'a pas compris que votre âme a été trompé
vous torturants chaque jour passant.
Vous ne songer qu'a la mort pour ne plus souffrir
dans vos rêves les mêmes scènes
changer les scénarios pour ne plus jamais se réveiller
bannir cette réalité sarcastique
Malgré vos efforts pour tout contrôlé rien n'y fait
la blessure est profonde
imperceptible
et cette tempête
pourquoi ne m'emmènent-elle pas
je cherche désespérément un refuge
une autre dimension.
L'avenir
Aller de l'avant sans regarder derrière
dans cette course folle à fuir les larmes
le souffle s'affaibli
tout devient irrespirable
L'avenir ce sentier si bien balisé évolue douloureusement
il est loin ce rêve
Épuisé vous continuer avec difficulté votre pèlerinage si bien tracé.
la mort vous est interdite
la survie exigé
Fran lisez trop se texte il est vrai, tout est dit dans se texte, lachez vos comm's !!